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ALIMENTATION

-Étude de l’anatomie humaine

 

-Les aliments toxiques

•1. la viande

•2. le lait / produits laitiers

•3. les céréales / légumineuses

•4. le sucre blanc

•5. la cuisson

 

-Alimentation Frugivore / Fruitarienne.

 

-QUESTIONS.

 

- Qu'est-ce qu'un fruit?

- Existe-t-il un meilleur aliment que les fruits?

- D'où vais-je obtenir mes protéines?

- Le sucre est connu pour être néfaste pourtant? est ce que les fruits contiennent trop de sucre?

- Est-ce que les fruits sont alcalinisant ou acidifiants?

- Que mange un frugivore / fruitarien?

- Les fruits sont-il nocifs pour les dents?

- Et les légumes alors?? pourquoi vous n'en parlez pas?

- Comment organiser ses repas? combien de fois par jours? en quelle quantité?

- Comment reconnaître l'instinct de l'addiction?

- Je fais un yoyo alimentaire, c'est trop dur,Je replonge sans arrêt dans mes addictions, je suis fatigué et irritable constamment que faire?

- Est-que une alimentation 100% fruits ou 100% crue une absolue nécessité?

- J'ai entendu dire qu'il ne fallait pas manger trop de fruits car  l'agriculture moderne ne leur permet pas d'avoir suffisamment de minéraux, est-ce vrai?

- Est-ce important de favoriser les aliments biologique?

- Je ressemble à un fil de fer depuis que je mange ainsi et suis sans énergie, dois-je me goinfrer?

- Où trouverai-je la vitamine b12 qui se trouve uniquement dans les produits animaux?

- Je fais du sport à un haut niveau est j'ai besoin de consommer suffisamment d'aliments pour pouvoir avoir les meilleurs performances, est-ce que les fruits me suffiront ?

- Dois-je m'exercer durant la détoxication initiale?

- Je n'ai plus soif depuis que je me nourri exclusivement de fruits, dois-je boire de l'eau minérale tout de même ?

- Manger des fruits revient cher !

- En quoi un mode de vie fruitarien est éthiquement supérieur qu’un mode de vie omnivore, végétarien/talien ?

- A quoi dois-je m'attendre une fois que la détoxication initiale sera terminé, Quels seront les bénéfices?

 

 

-Étude de l’anatomie humaine

etude

On nous a rabâché durant toute notre enfance et notre vie que l’être humain est un omnivore par nature, que ses ancêtres furent des chasseurs. Etudions ensemble par l'anatomie comparé ce qu’il en est réellement:

 

L’être humain n’a pas les outils naturels d’un animal chasseur, il n’a pas de griffes, ni les dents pour déchiqueter un animal vivant.

L’être humain a un intestin trop long pour pouvoir digérer de la viande sans qu’elle putréfie dans son intestin.

L’homme est arrivé avant le feu et les haches, il ne pouvait donc pas se procurer la viande nécessaire et devait donc logiquement manger autre chose de plus accessible à son espèce…. sinon l’être humain n’aurai pas survécu.

Je n’ai personnellement jamais vu un animal utiliser par exemple un rocher pour tuer sa proie et s’en nourrir.

De même qui a déjà vu un animal sauvage faire cuire ses aliments pour pouvoir les manger?

 

Réalisez-vous que nous sommes la seule espèce a transformer nos aliments par le feu ?

 

Considéré souvent comme le résultat de l'évolution humaine, c'est en fait lorsque les humains ont quitté les régions chaudes et tropicales, que le feu s'est installé dans les habitudes alimentaires.

 

Ne trouvant pas suffisamment de fruits pour se sustenter, il a fallu a l'homme une grande intelligence pour survivre et se nourrir d'aliments immangeable sans l'aide de la cuisson pour pouvoir remplir son estomac. C'est une roue de secours en temps de survie et en cas d'extrême urgence, mais est-ce optimal a terme? Pouvons-nous prosperer et developper son potentiel de vie maximal?

Avant de continuer, j’aimerai d'abord attirer votre attention sur ce tableau comparatif :

Comme nous pouvons le voir, l’être humain s’apparente exactement au singe anthropoïde qui lui est FRUGIVORE de nature.

 

Il est facile ainsi de comprendre pourquoi seul l’être humain connaît un si grande nombre de maladie lorsqu’il est si éloigné de sa propre nature (allergie, cancers, sida…etc..) que les animaux sauvages ne connaissent pas dans leur milieu naturel.

 

Naturellement nous ne sommes pas attirés par la viande crue, la manger dans son état naturel sur un cadavre d’animal poilu, sale, puant et ensanglanté nous révulserait.

Pour masquer notre instinct naturel, nous avons recours a divers artifices tel que la cuisson, les épices, les sauces, les savants mélanges.

Ainsi un met dégoûtant pour les sens sous cette couche de sauces et d’épices, paraîtra délicieux. 

C’est de cette manière que l’on corrompt son instinct naturel à identifier ce qui est bon pour nous ou pas.

 

Tous les animaux suivent leurs instincts, et l’instinct se passe aisément de connaissances intellectuelles et élucubrations scientifiques. Ce que la science s'évertue à comprendre, l'instinct le connait par nature.
un animal de composition carnivore, est guidé par son instinct à chasser. 
Son corps à les parfaits attributs pour consommer de la chair, ses sens sont tout autant attirés par cela, et il possède les armes naturelles pour chasser (griffes, dentition, vélocité pour attraper une proie en mouvement).

 

Pensez vous qu’un homme préhistorique irait risquer sa vie en allant s’affronter avec des animaux féroces, sans armes, seulement avec les défenses naturels de son corps pour l’attaquer? alors qu’il a tout juste a coté de lui, des fruits frais si facile a cueillir et a déguster ? Evidemment non, il ne ferai pas long feu autrement, il est clair que l'homme n'a pas les composantes d'un chasseur, même si son intelligence le lui permet, avec beaucoup de travail et de risques inutiles.
 

La cuisson des aliments et la nourriture animale est une adaptation de l'homme à un environnement hostile à la vie humaine. Les premiers hommes se déplaçaient toujours en direction du soleil, pour être sûr d'avoir toujours à leur disposition d'un temps clément et d'une alimentation riche en fruits. 

 

Cette curiosité de découvrir des contrées inexplorées, a donc poussé l'homme pour sa survie à utiliser ce qu'il y avait de disponible dans son environnement, ce qu'il a payé ultérieurement par un raccourcissement de son espérance de vie, par un appauvrissement de son tonus et de son habileté physique, par sa sédentarisation, par les maladies qui n'existaient pratiquement pas, par un ralentissement du développement harmonieux de ses capacités mentales (équilibre sagesse-intelligence), et par un net appauvrissement génétique pour chaque générations suivante.

 

Ainsi, manger cru est ce qu’il y a de plus logique, préventif et de plus efficace pour avoir une santé parfaite délivré de tous les maux de notre civilisation du 21eme siècle et exercer son instinct alimentaire sans être esclave des théories de gourous du 21eme siècle pour savoir que manger, combien quand, comment.

 

Mais avant toute chose, analysons les effets des aliments les plus consommés et toxiques dans notre société actuelle.

Mark L "Ce n'est pas parce que l'on nourri une vache de farine animale qu'elle est omnivore"

Hippocrate: "Que ton aliment sois ton médicament"

-Les aliments toxiques

alimentstoxiques

1.La viande

viande

Consommée en grande quantité et assuré par notre société comme aliment santé, la viande connaît un succès sans précédent.

 

…Mais qu’en est-il réellement ?

 

D’un point de vue anatomique et physiologique, l’être humain n’est  fait pour manger de la viande, c’est plutôt un animal frugivore.

Les carnivores sont pourvus de longues dents acérées et pointues, de grandes canines, et de griffes pour leur permettre de déchiqueter la chair de leurs proies.

Chez l’humain, les incisives sont remarquablement développées, les canines réduites et les molaires ont une large surface plate pour mastiquer les aliments.

 

La mâchoire d’un carnivore se déplace uniquement de bas en haut, afin de déchiqueter et de mordre la viande. La mâchoire de l’humain se déplace latéralement pour broyer.

 

La salive des carnivores est acide et prévue pour la digestion des protéines animales ; elle ne contient pas de ptyaline, une enzyme qui assure la digestion des amidons.

La salive des humains, au contraire, est alcaline et contient de la ptyaline pour digérer les amidons.

Les intestins des carnivores mesurent trois fois la longueur de leur tronc ; ils sont très courts afin que la chair soit absorbée et expulsée avant de se putréfier et de produire des toxines.

 

Les humains possèdent des intestins douze fois la longueur de leur tronc et ils sont destinés à conserver les aliments plus longtemps afin que tous les éléments nutritifs puissent en être extraits.

Le foie d’un carnivore est capable d’éliminer dix à quinze fois plus d’acide urique que le foie d’un non-carnivore. Le foie d’un humain ne parvient à éliminer que de petites quantités d’acide urique, une substance produite par la viande, extrêmement toxique, pouvant perturber complètement l’organisme.

 

Contrairement aux carnivores, l’humain ne dispose pas de l’urase, une enzyme permettant de décomposer l’acide urique. L’urine des carnivores est acide, celle de l’humain est alcaline.

La langue des carnivores est rugueuse, celle des humains lisse.

La main de l’humain est conçue pour cueillir des fruits et des légumes et non pour arracher les entrailles de la carcasse d’un cadavre animal.

 

 

Alors la viande, bénéfique pour l’humain ?.....sûr ? encore des exemples :

 

-     Nos reins ne peuvent éliminer que 2% des toxiques générés par la viande

 

-     Notre intestin est 3 fois plus long que celui des animaux carnivore, la viande va donc se  putréfier a l’intérieur de notre intestin, les bactéries vont passer a travers de la barrière intestinal, et vont remonter dans le sang et nous rendre malade plus ou moins gravement sur le long terme.

 

-     La viande va fournir un apport excessif d’acide urique, d’urée, d’ammoniac, d’histamines qui sont allergisants, déminéralisant et encrassant.

 

-     Le risque d’un cancer de l’intestin est multiplié par deux pour un consommateur de viande

 

-     En fonction de la quantité de viande consommée il y a perte de l’équilibre calcique (au-delà de 95g de viande consommée par jour).

 

-     La consommation de viandes induit progressivement l’acidose toxique qui mène à des pathologies des articulations, des reins, du système nerveux.

 

-     Risques accru d’anémie, d’appendicite, d’arthrite, de cancer du sein, du cancer du colon, cancer de la prostate, constipation, du diabètes, de la goûte, d’un pression sanguine élevé, d’indigestion, d’obésité, d’accidents cérébraux et vasculaire.

 

La viande contient de nombreuses purines et toxines et se putréfie beaucoup plus vite que la plupart des végétaux, est évidemment d’autant plus intoxicante qu’elle réside longtemps dans le système digestif. Or, n’oublions pas que le tube digestif des mammifères carnivores est quatre fois moins long que le nôtre, et que la viande n’a donc pas le temps d’y séjourner suffisamment longtemps pour entrer en putréfaction.

 

Par comparaison, les intestins humains, quand ils sont en parfaite santé, retiennent la viande quatre ou cinq fois plus longtemps… et lorsqu’ils sont un peu paresseux, dix, quinze, vingt fois plus longtemps. 
Ceci est infiniment trop long pour une nourriture de ce type, et ne manque jamais de provoquer, à terme, un état d’intoxication chronique de l’organisme et une acidification excessive du tube digestif, perturbant toute la sécrétion des sucs digestifs, et entraînant une irritation quasi constante de l’estomac et des intestins.

 

De plus, la viande est souvent riche en acides gras saturés et en cholestérol. Or, ces lipides sont dangereux puisqu’ils favorisent l’apparition de maladies cardiovasculaires comme l’artériosclérose, l’infarctus ou les thrombosis.

 

Certains modes de cuisson des viandes sont également problématiques. Par exemple, un kilo de viande grillée au barbecue contient autant de benzopyrène que… six cents cigarettes ! Or, le benzopyrène est un agent cancérigène des plus dangereux.

La chair des animaux est également très riche en insecticides, en anabolisants, en antibiotiques, en tranquillisants, en hormones du stress, induites par la peur de l’animal en agonie.

 

Bon appétit bien sur…

 

 

Sur l’écologie la viande est un désastre :


En 1988, en Amazonie, une quantité d'arbres représentant 34 000 km sur les 7 millions de km de forêts tropicales a été abattue et brûlée pour créer des pâturages pour le bétail…
Pour faire un hamburger, il faut 6m2 de forêt humide non remplaçable Pour exporter 1 kg de viande de bÅ“uf, il faut perdre 2,5 tonnes d'humus. 

 

Un Mac Donald s'ouvre toute les 17 heures dans le monde. Ces usines à bouffe produisent 25 millions d'hamburger par jour, ce qui entraîne la désertification de 125 km2 par JOUR de forêt humide…

 

Pour plus d'information cliquez sur le lien ci-dessous :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Impact_environnemental_de_la_production_de_viande

 

2.Le lait / produits laitiers

lait

Le lait maternel

Avant de parler du lait de vache, il est souhaitable de parler d'abord du lait maternel. 
L'allaitement maternel est la continuation de la fonction du placenta. 
Le placenta a un rôle nutritif et surtout un rôle de mise en place d'information qui participe à l'embryogenèse. Après la naissance, le lait maternel perpétue cette information en donnant au bébé des messages pour sa croissance.

 

Il a donc un rôle d'embryogenèse postnatal, et cette structuration, cette mise en place, demande trois ans d'allaitement pour l’idéal, six mois au minimum. 

 


Le sevrage se fera doucement à partir du sixième mois, en introduisant progressivement des aliments solides.
Le lait maternel est un régulateur hormonal pour le bébé car il lui est adapté, et il joue aussi un rôle immunitaire et anti-parasitaire. 

 

Par exemple, grâce à une enzyme spécifique à l'espèce humaine dont il est porteur, il est capable de détruire des parasites intestinaux tels que Cardia lamblia ainsi que l'amibe Entacmoba histolytica.

 


Son colostrum des premiers jours est purgatif, favorise l’élimination du méconium et diminue ainsi grandement les risques de jaunisse, il protégera donc le bébé contre les infections. 

 


Le lait maternel correspond exactement à la constitution biologique du bébé. 
Il a de multiples fonctions:

 

-     Stimulation de l'immunité,

-     Apport énergétique et nutritif,

-     Equilibrage du système nerveux par ses acides gras insaturés,

-     Véhicule de l'information de croissance adaptée par le message contenu dans ses protéines.

 

J’ajouterai enfin une fonction qui n'est pas la moindre : celle du lien d'amour et de la plénitude de la vie. 

Pourquoi dire non au lait de vache ?

Pourquoi le lait de vache est-il nocif pour la santé de l’être humain ? En voici les principales réponses.

 

1 - Code génétique inadapté 

Les hormones contenues dans le lait de vache sont des véhicules d’informations et vont transmettre à l’hypophyse du veau des informations adaptées à cette espèce animale particulière.
Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple peser 500 kg à six mois, reçu dans l’hypophyse d’un nourrisson qui, lui, dans le même temps, ne doit peser que 7 à 8 kg ?  Que va-t-il se passer?


Tout simplement, cette information non spécifique, qui ne correspond en rien à la croissance normale de l’être humain, va perturber le mécanisme sensible du système hormonal réglé par l’hypophyse et, de ce fait, déclencher toute une série de conséquences fâcheuses pour le bon fonctionnement physiologique de l’individu.
Quand bien même, malgré cela, l’organisme humain serait capable de s’adapter à cette désinformation, il le ferait au détriment d’autres fonctions s’étalant sur la vie entière de l’individu et même sur des générations.

 

C’est pourquoi le danger ne porte ni sur la quantité de produits laitiers absorbés (bien que cela puisse provoquer des encrassements du métabolisme, et nous en reparlerons plus loin), ni même sur la quantité biologique: le lait de vache issu de l’agrobiologique contient absolument les mêmes informations néfastes et non adaptées à l’espèce humaine.

 

Une seule goutte de lait, même cachée dans un gâteau, suffisait à dérégler le processus du métabolisme.
En conséquence, on constate, dans la plupart des cas, des réactions négatives du bébé lors du sevrage passant du lait maternel au lait de vache, ou aux laits dits maternisés qui restent malgré tout spécifiques à l’espèce animale car composée avec du lait de vache.

 

 

2 - Du calcium inaccessible

Nous trouvons dans le lait de vache, tout comme dans le lait maternel, du calcium. Celui-ci est dosé suivant les besoins du veau ou du bébé. Non seulement les besoins ne sont pas les mêmes, mais aussi grande que soit la proportion de calcium dans le lait de vache, celui-ci ne pourra en aucun cas être disponible à l’organisme humain.

 

En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l’information nécessaire à l'élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l’être humain.
C’est pourquoi le bébé, l’enfant, ou l’adulte, auront très peu d’osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive.

 


En regroupant les constatations de plusieurs chercheurs, médecins et hygiénistes, il semblerait que l’organisme, d’une part se défait de ces sels minéraux circulant dans le système sanguin, par défaut d’osséine, et d’autre part accumule ces mêmes sels contenus en trop grande quantité dans le lait de vache, dans des endroits tissulaires et organiques du corps. Ceci entraînant indurations, kystes, calculs et becs de perroquet.

 

 

3 - Des graisses saturées

Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d’acides gras poly-insaturés. Le lait de vache, lui, contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie de l’être humain a du mal à digérer et à saponifier.

 

Le système biliaire se fatigue par une suractivité pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s’y ajouter par l’alimentation.

 

C’est pourquoi lors d’une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d’en venir à la guérison.

 

De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l’intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif. Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l’être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c’est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou bien végétale. Et pour une croissance harmonieuse du bébé, nous trouvons la lactoferrine dans les protéines du lactosérum maternel.

 

 

4. Pauvreté en lactose

Le lait maternel, biologiquement adapté à l’homme, en contient plus de 50 % que le lait de vache. 
Ses propriétés sont non seulement énergétiques et déterminantes dans le processus de l’assimilation des minéraux et de la constitution de la flore intestinale, mais aussi elles participent grandement dans la protection contre les germes pathogènes.


Aucun lait d’origine animale ne protège l'homme contre les germes pathogènes et autres parasites. Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne inévitablement leur absorption.
La fièvre de Malte et la brucellose en sont les conséquences dont les risques ont été minimisés avec la surveillance sanitaire et la vaccination. Mais la vaccination n'empêche pas le passage d'autres toxines présentes dans le lait de vache comme nous allons le voir plus loin.


Les protéines du lactosérum contenues dans le lait maternel contiennent des protéines anticorps (lysosymes, gammaglobulines. immunoglobulines) qui jouent un rôle de grande importance dans la lutte contre les infections, d'autant plus que le nourrisson n'a pas établi sa barrière immunitaire intestinale.
D'où, une fois de plus, l'importance de nourrir l'enfant au lait maternel et d'abandonner le lait de vache favorisant les parasites en tous genres.

 

 

5. Des molécules géantes

Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule biochimique.
Le milieu digestif est également différent selon l'espèce : l'estomac du veau sécrétant de la caillette et celui du bébé de la présure (réinine) pour dégrader et coaguler leurs laits respectifs.

 

Ainsi, on constate que la caillette du veau est cent fois plus puissante et active que la présure du nourrisson, et cela en rapport avec les molécules constituantes du lait de vache qui sont nettement plus grosses que celles du lait maternel.
C'est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour dégrader une trop grosse molécule d'origine animale.
Diluer le lait de vache avec de l'eau pour le rendre soi-disant plus digeste ne changera rien à l'affaire car la formule biochimique restera la même.

 

Le bébé fabrique de la réinine jusqu'à l'âge de trois ans. Au-delà de cet âge, si nous le forçons à boire du lait de vache après son sevrage, son organisme se verra forcé de fabriquer de la présure (lactase) pour digérer un aliment qui ne lui est donc pas nécessaire, au détriment des autres fonctions organiques. J’ajouterai que la présence de la lactase dans l'intestin est responsable de gaz et de ballonnements (une flore intestinale de bonne qualité est de nos jours très rare, il est donc très important de ne pas la modifier ou de la remettre en bon état).

 


Les Africains possèdent très peu d'enzymes (réinine) pour digérer le lait de vache. Ils sont donc plus exposés que les Occidentaux à des dérèglements digestifs aux conséquences fâcheuses. Le lait de vache et ses sous-Produits (fromage, yaourt; beurre) sont contre-indiqués dans les pays tropicaux

 

 

6. Les facteurs toxiques

Dans les cahiers de la nutrition «Médecine officielle», il est noté que nos chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l’homme. Des recherches ont été effectuées afin de retirer cette molécule du lait, au lieu d’en retirer tout simplement la vente.
Avec tous ses divers procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le fait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes.


Les enzymes sont des facteurs d'assimilation intervenant par catalyse. Sous la chaleur des divers procédés de longue conservation et de protection, le lait de vache se défait de ses enzymes qui sont tous très sensibles et dont la survie est nulle à haute température.
Choisir entre un lait cru et sa facilité d'assimilation et un lait cuit de longue conservation et sa facilité d'emploi, je dirai que cuit ou cru, il vaut mieux s'abstenir.
D’autant plus que dans la fabrication de certains fromages, et plus spécialement les fromages de hollande, l’ajout de tous les additifs conservateurs (polyphosphate, nitrate), sont très dangereux pour la santé de l’homme.

 

Les phosphates ont une action inhibitrice sur la fixation du calcium, d’où le nombre croissant de personnes atteintes de spasmophilie, consommant du fromage ou des produits laitiers. Il faut donc se méfier de la fausse information concernant l’apport de calcium par les laitages. 
Et pour terminer, les vaches subissent divers traitements (hormones, vaccins, antibiotiques). Elles sont elles-mêmes alimentées par des produits forcés et traités qui transmettent une forte teneur en toxines dans le lait, ajoutant à tous les facteurs déjà énumérés un danger de plus pour la santé de l’homme (sans parler des farines de cadavres de mouton dont on les a longtemps gavées et dont on commence à mesurer aujourd’hui les graves conséquences sous le terme de «maladie de la vache folle»).

 

Les produits laitiers d'Europe inondent le Marché et s'expatrient vers les autres pays, notamment les pays tropicaux dont le climat ne permet pas aux consommateurs leur assimilation : de nombreux problèmes de santé en découlent sans en soupçonner leur origine.
Pourquoi, au moment où les médias dénoncent la viande contaminée par la maladie de la vache folle, ne se préoccupe-t-on pas de la qualité du lait de vache ? Et pourtant, il semble logique de se poser, au moins la question.

 

 

Evolution pathologique

Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement, conséquence d'une intolérance au lait de vache, troublant la fonction stomacale ou biliaire. Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées.


Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique. 


Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront.
Le premier signal d'alarme se tait. On n'aura ni entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien. C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.

 

L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

 

A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.

La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d’attention, de vision, s’ajoutant aux fatigues et nervosité.

 

A l'âgé adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.

 

Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, cancéroses).

 

Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s’est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.

 

Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait vu être facilement évitée.

 

 

L’intoxication à l’acide lactique

A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.

 

Si malgré cela, l’adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d’acide lactique qui en trop grand quantité dans l’organisme, deviendra toxique. 

 

En effet, une élévation de l’acide lactique au niveau cellulaire engendre une prolifération de cellules qui n’atteindront pas leur maturité, (la quantité détruit la qualité) et seront incapables de capter l’oxygène et d’éliminer les déchets. Ces perturbations de kystes et de tumeurs.

 

 

D’autres en parlent

Le Docteur Dufhilo (dans Vie et action) rend le lait de vache responsable d’encrassement et affirme qu’un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent.

Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d’en faire eux-mêmes l’essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu’expérience pour constater s’ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.

 

Le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysés infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers.

 

Les troubles de santé par l’apport quotidien de lait de vache sont nombreux : les maladies cardio-vasculaires, les inflammations, les allergies, les syndromes de mort subite chez le jeune enfant, les troubles nerveux mineurs et la schizophrénie.

 

L’intolérance à la béta-lacta-globuline, une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, amis l’insistance bornée des adultes conduit son organisme dans un état de tolérance des antigènes du lait de vache.

 

Bruno Comby constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l’homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l’âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d’enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l’âge de trois ans.

Pour le pédiatre Paul Gyorgy, le lait de vache est le meilleur pour le veau et le lait maternel est le meilleur pour le bébé.

 

Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.

Roland Fietta, naturopathe, prétend que le lait de vache provoque de l’obésité, des rhumatismes, infections, allergies, troubles nerveux, spasmophilie. 

 

En cas d’otite à répétition, il est nécessaire, dit-il, de réduire ou de supprimer le lait et les laitages. Il ajoute qu'en Scandinavie, on trouve des problèmes graves de dystrophie osseuse, des acromégalies d'origine hypophysaire osseuse, des néphroses du buveur de lait (le rein qui se transforme en cailloux).

 

Le Docteur Comet rend le lait responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. 

Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.

 

Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium (le Nouvel Objectif n' 4, mai I990).

 

Dans le «Droit à la Santé», il signale : «l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le fromage attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. 

 

Cela équivaut à une surdigestion des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois……mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.».

 

Dans la «Médecine végétale illustrée», du Docteur A Narodetzki, nous trouvons dans la rubrique lait de vache cette information : «le lait contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. 

 

Le lait est défendu dans l'entérocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs».

 

Michio Kushi, spécialiste en macrobiotique, auteur de plusieurs livres, dit dans le Livre de la Macrobiotique: «Les produits laitiers ne rentrent pas dans l'art culinaire de la macrobiotique. Le lait de vache n'est bon que pour le veau».

 

Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante : «les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes 11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois». C'est Pourquoi il est si important d’allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, au mieux durant trois ans.

 

Jane Cottinghan, dans son livre «Le biberon bébé», remarque que chez l'homme la consommation de lait d'animaux date de 10 000 ans et que son industrie s'est vraiment développée depuis 50 à 70 ans chez seulement quelques espèces humaines. 

 

C'est donc un phénomène relativement récent. L’ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.

 

Dans le dépliant de la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie des travailleurs, tiré des éditions Objectif Santé, il est écrit : «Les laits maternisés, par leur apport de protéines animales et végétales, entraîneraient un excès d’urée et des déchets.»

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3.Les céréales, légumineuses, noix & graines

Consommé en grande quantité dans le monde entier autant dans les pays riches que  pauvres, les céréales ont su s’imposer comme un standard de notre alimentation quotidienne.

 

La culture céréalière intensive est une des cause numéro un de déforestation avec l’élevage du bétail. 53 % de la production agricole mondiale (céréales et légumineuses) est destinée à nourrir du bétail ce qui entraîne la déforestation et le dérèglement climatique, provoquant des famines.

 

Excepté en les germant, les céréales (blé, riz, avoine, orge, épeautre, quinoa, seigle, millet, maïs…) sont difficilement assimilables, nourrissantes et attirantes dans leur état naturel et cru.

 

Les céréales mais aussi les légumineuses, les graines, et les noix contiennent en quantités importantes un anti-nutriment nommé : l’acide phytique.

 

L'acide phytique est la principale forme de stockage du phosphore dans de nombreux tissus de plantes, en particulier celle des céréales et autres graines. L'acide phytique se lie facilement avec d'autres minéraux, tel que le calcium, magnésium, fer et zinc, pour former un sel insoluble : les phytates.

 

Il est bien connu que les céréales complètes par ce mécanisme, diminuent l'absorption de ces minéraux. Il n'y a apparemment pas d'adaptation physiologique à un apport quotidien élevé en acide phytique qui est une importante cause de carence en fer dans les pays du tiers monde et peut-être dans le monde occidental. Il est également une cause importante de carences en minéraux chez les végétariens.

 

L'acide phytique non seulement empêche l’assimilation de nombreux minéraux mais inhibe également les enzymes requis pour digérer nos aliments, comprenant :

 

La PEPSINE, nécessaire pour la décomposition des protéines dans l'estomac.
L'AMYLASE, nécessaire à la dégradation de l'amidon en sucre.
La TRYPSINE, nécessaire à la digestion des protéines dans l'intestin grêle.

 

Ces phytates absorbés en quantité rendent indisponible dans le corps humain le calcium, magnésium, fer et zinc, menant ainsi progressivement, à des déficiences nutritionnelles, déminéralisation osseuse, caries, perte d’appétit et problèmes digestifs.

 

En 1949, le chercheur Edward Mellanby a démontré le pouvoir déminéralisant de l'acide phytique. En étudiant la façon dont les céréales avec et sans acide phytique affectaient les chiens, Mellanby a découvert que la consommation de céréales à riche en acide phytique interfère avec la croissance osseuse et interrompt la métabolisation de la  vitamine D.

 

Des niveaux élevés d'acide phytique dans le cadre d'un régime alimentaire faible en supplémentation de calcium et de vitamine D ont abouti au rachitisme et à un manque important de formation osseuse.

En 1992, le professeur Harold H. Sandsted, qui est Rédacteur en chef du journal de nutrition le plus important "l'American Journal of Clinical Nutrition" a noté que "la preuve semble écrasante que des consommations élevées en sources de fibres qui sont également riches en phytate peut avoir des effets néfastes sur la nutrition minérale de l'homme "

 

D'après les rapports archéologique, le rachitisme est rare voir absent dans les squelettes humains précédant l'agriculture, tandis que la fréquence augmente durant le l'urbanisation du Moyen Âge et explose durant l'industrialisme. En 1900, on estime que 80-90% des enfants européens du Nord ont été touchés. 

 

Ceci peut durement être expliqué par seulement la réduction d'exposition au soleil et la réduction de durée d'allaitement. Une cause supplémentaire possible est l'accroissement continuel d'apport en phytate, depuis le moyen âge jusqu'à aujourd'hui.

 

La germination réduit effectivement les teneurs en acides phytique des céréales, légumineuses et noix mais pas complètement.

 

Il est à noter que les fibres alimentaires seules n'ont pas d'impact sur l'absorption des minéraux. Une forte consommation de fibres provenant de fruits et de tubercules peut être recommandée sans risque, au moins de ce point de vue.

4. Le sucre blanc

sucre

Le sucre est un élément de base des féculents. Le sucre de canne contient 14% d'éléments-traces, minéraux et vitamines, qui nous ont donné la vie, en plus de la chlorophylle.


Le sucre que nous achetons au supermarché pour notre consommation personnelle est chauffé dans du lait de chaux : le calcium et les protéines sont éliminés. Il devient, dans un premier temps, un alcaloïde et toutes les vitamines sont détruites.
 

Dans une seconde phase, le sucre est mélangé à de la chaux acide, du gaz carbonique, du dioxyde de soufre et, enfin, du bicarbonate de sodium. La mixture est bouillie et refroidie plusieurs fois, puis cristallisée et centrifugée. Cette masse morte est ensuite traitée avec de l'hydroxyde de strontium. Puis, elle arrive à la raffinerie, où elle passe sur de l'acide de charbon de chaux, pour la nettoyer.


La couleur foncée est enlevée en ajoutant de l'acide sulfurique, ensuite elle est filtrée avec de la poudre d'os calcinée. Enfin, elle est colorée avec du "Indathrenblue" ou avec le très toxique "Ultramarine". 
La composition chimique de ce produit est C12H22O11, et vous pouvez l'acheter dans les magasins sous la dénomination de "pur sucre de canne", morceaux de sucre, bonbons, etc. 

Toute la vitalité et les forces protectrices en ont été détruites, et ce produit appelé sucre a une densité atomique de 98.4 à 99.5. Ce type de densité est classé dans la catégorie des poisons.

 

Ce sucre industriel irrite les membranes des muqueuses, les tissus, les glandes, les vaisseaux sanguins et le tractus intestinal de la personne qui le consomme.

 

Le sucre blanc a aussi pour effet de paralyser le mouvement péristaltique de l'intestin et conduit à une défaillance du système immunitaire.

Le "tissu dentaire" a une "pression tissulaire" de 7 At. Le sucre industriel augmente cette pression osmotique à 34 At. 

 

L'émail dentaire est la substance la plus dure du corps humain, avec les os. Nous avons trouvé des dents qui ont séjourné 100 000 ans dans le sol et sont restées intactes malgré la chaleur, le froid, la pluie, la neige, les bactéries, etc. Le sucre blanc fabriqué par l'homme est capable, en revanche, de détruire l'émail des dents en quelques heures.

Il pénètre comme un clou dans la structure du tissu dentaire et le rend cassant. 

 

Ce que la nature n'a pas réussi à faire depuis le commencement, l'homme l'a fait en un rien de temps. Il est le seul être qui détruit la valeur nutritive de sa nourriture avant de la consommer. 
Note de FW : lorsque vous achetez du sucre brun au super-marché, du sucre en morceaux, de la vergeoise ou de la cassonade, il ne s'agit nullement de sucre complet, ni bio ni rien du tout; c'est en général du sucre blanc teinté… pour mieux embrouiller le consommateur !

5. La cuisson

cuisson

La structure chimique des aliments se modifie par la cuisson et provoque une oxydation par perte d'électrons qui sera différente en fonction du mode, et surtout de la température et du temps de cuisson.

Ces nouvelles molécules pas créées par la nature ne sont pas reconnues par l'organisme qui ne les digère pas.

Cela entraîne un appauvrissement des principes actifs des aliments que ce soient les nutriments ou les enzymes digestives et provoque un encrassement.

 

Ces molécules sont ensuite stockées quelque part dans l'organisme.

 

Pour compenser, le corps réagira de différentes façons dont l'une des plus fréquentes est la sensation de faim.

 

Mal nourri, l'organisme réclame des nutriments et l'envie de manger peut rester présente même après un repas.

 

 

La cuisson dénature les aliments

La cuisson engendre un grand nombre de molécules complexes qui n'existent pas à l'état naturel dont les propriétés et la destination restent inconnues. Toutefois, on sait que certaines substances issues de la cuisson sont toxiques ou cancérigènes. A quoi bon consommer des aliments bio de qualité si c'est pour les rendre cancérigènes à la cuisson ?

Dang estime que les pesticides et les colorants contiennent beaucoup moins de composés mutagènes que les aliments cuits.

D'après le Dr Seignalet : [Ndc : dans "L'alimentation 3ème médecine"]

- Lors de la digestion d'aliments cuits, on observe une leucocytose (augmentation des globules blancs du sang) qui n'apparaît pas lorsqu'on ingère des aliments crus. Ceci laisse à penser que des macromolécules auraient traversé la paroi intestinale et suscité une réponse immunitaire.

- Les graisses animales cuites favorisent le cancer du sein et du colon.



Les effets de la cuisson en fonction des températures selon Daniel Kieffer, naturopathe :

Températures : 

Effets nocifs
De 40° à 75° C : Destruction de toutes les enzymes

Dès 40° C : Hydrolyse des amidons en maltose et stabilisation vers 80°, puis à + de 100° : caramélisation avec perte de l'eau

De 60° à 75° C : Destruction de la vitamine C

De 70° à 100° C : Hydrolyse des protéines - Coagulations des albumines - Destructuration spatiale des molécules d'acides aminés

A 90-95° C : Destruction de certaines vitamines B - Destruction en grande partie de la vitamine E

Autour de 100° C : Précipitation des minéraux et oligo-éléments par floculation* intracellulaire - Perte ou inversion du spin des électrons - Désionisation partielle

Autour de 110° C : Oxydation des vitamines liposolubles A et D

A partir de 120° C : Destruction des vitamines restantes : B2, E, PP- -Dissociation des lipides en acides gras et glycérine, puis en eau et en goudrons avec formation d'acroléine cancérogène et de benzopyrène (au point de fumée des huiles)

* Le phénomène de floculation est l'indice de dévitalisation des aliments cuits. La vie existe à l'état colloïdal** (agencement électromagnétique intracellulaire). La cuisson détruit cet équilibre : c'est la floculation ou la mort. [Ndc : Les eaux de Forges-les-Eaux, très chargées en fer, sont limpides à la sortie du griffon. Après embouteillage, des flocules blancs apparaissent dans l'eau au bout de quelques heures. Marcel Violet expliquait cela par la perte d'une énergie subtile, favorable au vivant, que contiennent les eaux minérales et les eaux d'orages]

** Les colloïdes appartiennent aux groupes aussi divers que les protides, lipides, glucides, minéraux, sels, résine... Ils sont constitués de particules chargées électriquement. Emulsionnées dans l'eau, elles sont nommées micelles. Chargées positivement ou négativement, ces micelles se repoussent mutuellement ce qui maintient un équilibre et les anime d'un mouvement perpétuel nommé mouvement Brownien. Cet état d'harmonie dynamique est rompu à la mort.

 

Les réactions de Maillard
Le chimiste Maillard a mis en évidence des réactions dues à la cuisson dès 1916.

Ces réactions se font entre les protéines et les glucides et génèrent des molécules incassables par les enzymes dont c'est le rôle. Très difficiles à dégrader et à éliminer, ces molécules sont stockées dans le corps pendant toute une vie, elles sont piégées le plus souvent dans les tissus gras ou enkystées dans des noyaux cellulitiques, dans des cellules hépatiques... On constate leur absence chez le nourrisson alors qu'elles sont présentes en quantité abondantes chez la personne âgée. Elles réapparaissent souvent à l'occasion de jeûnes et cures diététiques hypotoxiques où l'organisme utilise ses propres graisses pour se nourrir et relargue ses toxines (l'autolyse) ...

Les réactions de Maillard se produisent en 3 étapes pour aboutir à la formation de substances de plus en plus complexes :

- formation d'aldosamines et de cétosamines peu ou pas colorés ;

- transformation de ces 2 substances en prémélanoïdines colorées avec odeur de grillé ;

- constitution de mélanoïdines en un amas de molécules brunies.

Les molécules de Maillard sont volumineuses et chaque étape les rend de plus en plus difficiles à métaboliser (digérer) à mesure qu'elles se complexifient. A la 3e étape, elles sont pratiquement incassables (indigestes). Elles deviennent insolubles dans l'eau et résistantes aux enzymes qui digèrent les protéines, même l'eau de javel et les détergents ne parviennent plus à les briser. Puisqu'elles ne sont plus digestes, que deviennent ces grosses molécules ? D'après le Dr Jean Seignalet, deux destins sont possibles :

- elles s'accumulent dans les cellules ou le milieu extra-cellulaire, ce qui peut déboucher sur une pathologie d'encrassage ;

- elles sont captées par les macrophages et transportées jusqu'à un émonctoire ou organes d'élimination (reins, poumons, foie...) afin de les éliminer, ce qui peut aboutir à une pathologie d'élimination.

Le goudron

Pour récapituler, les molécules de Maillard se cachent derrière la croûte dorée du pain, le caramel de certains desserts, les grillades et particulièrement les aliments cuits aux barbecues, encore plus nocifs car il faut leur ajouter un autre produit toxique cancérigène, le benzopyrène/goudron.

En règle générale, les goudrons attaquent les muqueuses fragiles : muqueuses pulmonaires avec la cigarette, muqueuses digestives avec les grillades et barbecues.

Lors d'un symposium à Toulouse en 1981, il a été clairement énoncé qu'un kilogramme de grillade cuite sans précautions pouvait apporter autant de goudrons qu'un millier de cigarettes. Un barbecue vertical où les graisses ne retombent pas sur les flammes est déjà moins néfaste pour la santé et si vous ne pouvez pas vous passer de faire un barbecue, une fois par mois reste acceptable si la santé est bonne, c'est la répétition qui sera nocive.

N'oublions pas qu'une grillade de 200 grammes équivaut à fumer 100 à 200 cigarettes au niveau du goudron. [Ndc : sauf que le goudron passe par l'estomac et non par les poumons]

Le brunissement et le changement d'odeur sont les indices révélateurs d'une réaction de Maillard.

 

La cuisson aux micro-ondes
Bien que la température ne dépasse pas 75° C, la cuisson au four micro-ondes provoque un changement d'orientation des molécules d'eau (2,45 milliards de fois par seconde), personne ne connaît encore les conséquences de ce phénomène sur la santé (voir l'expérience menée par le Pr Joyeux sur les souris). En cas de fuite (porte non hermétique), le four émet des radiations non ionisantes aux effets nuisibles sur l'organisme. La cuisson au micro-ondes transforme certains acides aminés (protéines) qui deviennent indigestes et insensibles à l'action des enzymes. La cristallisation sensible détecte à 90 % des cas de fortes perturbations.

Une expérience menée par le Pr Joyeux sur 3 lots de souris nourries avec les mêmes aliments préparés de façon différente à donné les résultats suivants :
- Lot 1 : chauffage des aliments au four micro-ondes
- Lot 2 : cuisson à la cocotte minute
- Lot 3 : aliment à l'état cru ou cuisson à la vapeur douce

Les souris du premier lot ont d'abord refusé la nourriture pendant plusieurs jours pour finir par manger pousser par la faim.

Des cellules cancéreuses ont alors été inoculées aux rongeurs des trois lots.

Le pourcentage de souris qui ont développé le cancer a été :
- de 100 % sur le lot 1, cuisson au micro-ondes
- de 50 % sur le lot 2, cuisson à la cocotte minute
- de 0 % sur le lot 3, aliments crus ou cuits à la vapeur douce.

D'après ces résultats, mieux vaut éviter de se servir d'un micro-ondes, surtout pour chauffer le biberon d'un bébé. 

 

Voir aussi l’expérience faite sur une plante avec de l’eau bouillie et refroidit et de l’eau chauffé au micro-onde et refroidit :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

-Alimentation Frugivore / Fruitarienne

alimfruit

Sachant que nos bases alimentaires sont complètement erronées, que la médecine est complètement à coté de la plaque, que les lobbies pharmaceutiques, bovins, laitiers s’opposent farouchement à ce qu’une vérité dérangeante face surface, éveille les consommateurs et changent leurs habitudes, il est réellement tant de prendre notre santé en main, de reprendre le contrôle et la souveraineté de notre santé, que ce soit pour des raisons logiques, personnelles, éthiques ou autres… mais plus important pour être LIBRE.

 

-Saviez vous qu’un fruit se digère a peine en moins d’une heure alors que pour digérer un steak avec un plat de pâtes il faudrait compter plusieurs heures.

 

Ainsi rapidement digéré le corps peut se consacrer à d’autres taches : purifier le sang, nettoyer le corps, renouveler les cellules, les organes, la peau, pour les maintenir jeune et en pleine santé.

 

Le fruit est un des aliments les plus nettoyant et concentré en vitamines.

 

Il est tout a fait normal lors des premières semaines de consommation de fruits uniquement de se sentir fatigué, irritable, faible et de perdre du poids.

 

Le corps ainsi libéré des aliments lourds, va se consacré à nettoyer totalement….et ceci taxe beaucoup en énergie.

 

C’est un peu comme lorsque l'on fait une recherche anti-virus sur notre ordinateur. Nous remarquerons que nous ne pourrons pas faire grand chose durant cette analyse, car ce sera trop lent. 
Cela s’explique car l’ordinateur priorise et met toute sa puissance uniquement sur cette tâche et laisse donc peu pour le reste.

Il en est de même avec le corps humain, une fois nettoyé le corps est rajeuni (bien souvent on a rajeuni de 10 à 15 ans) et fonctionne bien mieux qu’avant.

 

 

 

  - QUESTIONS :

 

 

 

 - Qu’est-ce qu’un fruit?

Le fruit est la partie comestible et charnu de la plante entourant la graine/noyau.

 

- Existe-t-il un meilleur aliment que les fruits?

Les fruits sont un tel délice pour tous sens. De tous les aliments disponibles, les fruits sont les plus beaux, délicieux et agréables. De tous les aliments naturels, c’est à dire les aliments que nous pouvons manger dans leur état naturel, les fruits sont les aliments vers lesquels nous sommes les plus attirés.
Les humains sont nés avec un instinct naturel pour les aliments sucrés et dans la nature, cet instinct nous dirige naturellement vers les fruits.

 

Lorsque nous avons faim – et je veux dire vraiment faim – les fruits sont souvent la nourriture la plus satisfaisante que nous pouvons manger. N’y a-t-il rien de mieux que de dévorer une délicieuse mangue mûre durant une chaude journée d’été? Ou de mordre dans une succulente pomme, fraîchement cueillie? Ou d’apprécier une orange juteuse et sucrée, mûrie à souhait ? Existe-t-il un plat cuisiné qui peut battre une cerise mûrie à la perfection?

 

Les fruits ont été consommés par l’être humain dans les temps aussi lointains que nous connaissons, alors que les céréales, légumineuses et les produits laitiers ont été cultivés depuis 10 000 ans ou moins, ce qui représente un souffle dans la vie de l’humanité. Les études anthropologiques ont démontré que les fruits ont formé une partie importante de l’alimentation de l’être humain pendant des centaines de milliers d’années.

 

Les fruits ont toujours été reconnus comme étant l’un des aliments les plus sains qu’il existe. Dans l’esprit de la plupart des gens, les fruits sont vus comme un aliment nourrissant que nous devrions manger à cause de son contenu vitaminique. Même s’ils réalisent les qualités nutritionnelles exceptionnelles des fruits, peu de gens leur donnent la place qu’ils méritent dans leur alimentation. Les fruits sont toujours mangés comme une “collation” ou un “dessert”, mais sont rarement vus comme un repas principal. Dans l’esprit des gens, les fruits sont une collation santé mais pas comme un aliment qui peut soutenir un travailleur physique, comme la viande ou le pain. Ils ne réalisent pas que les fruits devraient être la base dans l’alimentation et que ceci a été le cas pendant des millions d’années, bien avant que le pain et le riz soient cultivés et que le fromage, les sandwichs et les « twinkies » soient inventés.

 

Manger des fruits offre de nombreux avantages:
* Les fruits constituent la meilleure de sucre naturel, nécessaire à l’énergie.
* Les fruits représentent encore la meilleure source de vitamines parmi tous les aliments.
* Les fruits sont remplis d’antioxydants.
* Les fruits sont plus faciles à digérer que les céréales. Les fruits sont pratiquement prédigérés. La digestion d’un fruit mûr requiert peu d’enzymes digestives et fatigue donc moins le corps.
* Les fruits sont alcalinisants (alors que les viandes, poissons, céréales et légumineuses sont acidifiants).
* Les fruits contiennent de l’eau pure en abondance.
* Les fruits sont faciles à manger. Ils ne requièrent pratiquement aucune préparation.
* Les fruits sont beaux. Tous nos sens sont nourris par les fruits, pas seulement le sens du goûter.
* Les personnes qui mangent beaucoup de fruits vivent plus longtemps. Une étude publiée dans le British Medical Journal (septembre 2001) a démontré que les fruits frais sont le meilleur gage pour une longue vie. Les résultats de cette étude démontrent que les personnes mangeant des fruits régulièrement ont 32% moins de risques de mourir d’une maladie cérébro-vasculaire, telle qu’une attaque, et 24% moins de risques de mourir d’une maladie cardiaque que ceux mangeant des fruits moins d’une fois par jour.
* Les fruits contiennent beaucoup de fibres, nécessaires pour une digestion optimum.

 

-D'où vais-je obtenir mes protéines?

 

Premièrement examinons une protéine. Qu’est-ce qu’une protéine précisément? 

 

- Les protéines sont de l'azote organique contenant des composés appelés "polymères" constitués d'acides aminés disposés en une chaîne linéaire et plié dans une forme globulaire.

 

-Les protéines peuvent être classées comme complète ou incomplète selon la constitution génétique des acides aminés.

 

-Les protéines sont complètes dès lors qu'elles sont composés de 8 acides aminés essentiels au sein de sa structure, autrement elles sont incomplète.

 

-Les acides aminés sont reliés par des liaisons peptidiques.

 

-Les protéines sont les principaux composants des muscles, peau, tendons, vaisseaux sanguins, des cheveux et des noyaux des os et des dents.

 

-Ils fonctionnent comme des enzymes, qui génèrent de l'énergie dans le corps, les hormones, les immunoglobulines, les molécules de signalisation ou les éléments structurels comme les cheveux ou les ongles et les matériaux comme le tissu du corps. Ils construisent, maintiennent et remplacent les tissus corporels.

 

-Les protéines fabriquent aussi des anticorps et de l'hémoglobine qui transporte l'oxygène dans le sang.

 

-Chaque protéine est définie de manière unique par sa structure en acides aminés.

 

-La protéine est un macro nutriment.

 

-ll y a plus de 50 000 protéines différentes dans notre corps humains qui sont tous constitués à partir de plus ou moins 22 acides aminés différents.

 

- Pour faire simple: L'alphabet se compose de lettres de A à Z. De même, une protéine est constituée de différents acides aminés.

 

 

Deuxièmement, examinons ce aue sont que les acides aminés exactement?

 

-Les acides aminés sont des molécules en trois dimensions ou éléments constitutifs des protéines et de toutes les cellules de notre corps humain.

 

-Ils sont des composés ou des structures nécessaires pour former une structure protéique.

 

-Certains acides aminés sont produits par le corps et d’autres non.

 

-Ils sont constitués de carbone, d'azote et d'oxygène.

 

-Les acides aminés complet ont de nombreuses fonctions dans le métabolisme, le maintien de la vie, la nutrition, la reproduction et la croissance. 

 

-Les acides aminés incomplets n'assistent pas pour promouvoir une croissance normale, mais peuvent maintenir la vie.

 

-Il y a 22 principaux acides aminés pour le fonctionnement humain.

 

-Il y a des acides aminés essentiels et non-essentiels

 

-Les acides aminés essentiels sont: le tryptophane, la valine, la leucine, l'isoleucine, le méthionine, le phenylalaline, la thréonine et la lysine.

 

-Les acides aminés non essentiels sont: l'alanine, l'asparagine, l'acide aspartique, la cystéine​​, l'acide glutamique, la glutamine, la glysine, la proline, la sélénocystéine​​, la sérine, la tyrosine, l'arginine, et l'histidine.

 

 

Points important:

 

-Tous les fruits contiennent des acides aminés.

 

-Les baies de Goji (fraîches) sont parmi les fruits les plus denses en nutrition sur terre. Elles contiennent tous les acides aminés essentiels et presque tous les acides aminés non essentiels. Au total elles contiennent 18 acides aminés.

 

-Lorsque vous suivez un régime de 100% fruits crus, vous absorbez tous les acides aminés essentiels au besoin de votre corps.

 

-Les protéines sont composées d'acides aminés. Si ces protéines manque d'un des acides aminés essentiels, votre corps ne sera pas capable de l'utiliser pour construire. Par conséquent, il est tout à fait logique que ce que notre corps a besoin pour fonctionner correctement n'est pas les protéines, mais les acides aminés.

 

-Mangez une variété de fruits, et assurez vous d'obtenir assez de fruits sucrés et juteux, Veillez à manger à votre faim.

 

-Ce qu'il est important de constater, c'est que l'industrie de la viande fait de la pub pour leurs produits bovin - c'est pourquoi nous sommes tous endoctrinés dans la pensée que seule la viande peut nous fournir l'apport nécessaire de protéines par jour. Rappelez-vous enfant à l'école lorsqu'on nous montrait ce tableau de la pyramide alimentaire, allez vérifier qui parraine ces tableaux. L'industrie bovine!

 

-Une autre chose importante à remarquer est que le lait maternel contient juste la bonne quantité de protéines. Autour de 1.1gr de protéines par 100ml. C'est très proche de la teneur en protéines des fruits. Les bébés ont besoin de protéines pour grandir, leurs besoins en protéines sont au maximum, plus élevés que dans tout autre stade de la vie humaine. La réalité est que plus on vieillit, moins de protéines nous avons besoin. Encore une fois, nous sommes tous d'être endoctrinés en pensant que plus on vieillit - le plus de protéines nous avons besoin. Nous avons seulement besoin d'une petite quantité de protéines pour nous soutenir. Nous ne pouvons pas avoir plus de besoin en protéines que les nourrissons qui ont les besoins les plus élevés en protéines.

 

-Les fruits et leur teneur en protéines est de 95% semblable à celui du lait maternel. Évidemment, cela montre que les fruits sont idéales pour le maintien de la vie humaine. De même, les fruits contiennent 75% ou plus, d'eau. C'est très similaire aux cellules, au sang et aux tissus musculaires dans le corps humain, qui contient également plus ou moins la même quantité d'eau.

 

-Le problème suivant important à noter est la qualité des protéines. Une fois encore nous avons tous été endoctrinés dans la pensée que les protéines de la viande sont de meilleure qualité que les protéines végétales. Vous devez réaliser que ce n'est pas la nourriture contenant la plus haute teneur en protéine qui a la meilleure qualité de protéines pour votre corps. L’ensemble des propriétés nutritionelles des aliments devraient également être prises en compte.

 

-La viande, par exemple, contient beaucoup de mauvais cholestérol et de mauvais gras, alors que les fruits non. La viande contient seulement de la vitamine B12, du fer, du sélénium, du phosphore, de la niacine, de la vitamine B6, de la riboflavine et de la vitamine K2. elle ne contient pas les autres éléments minéraux ou les vitamines importantes et cruciales pour la vie. Les fruits contiennent tout. la vitamine B12 est une exception car elle n'est pas un élément mais une vitamine dont la structure peut seulement exister via les bactéries. Les fruits sont beau car ils contiennent toutes les vitamines, les minéraux, les sels et les acides aminés dont nous avons besoin pour soutenir le corps.

 

-Donc, pour revenir à la qualité des protéines, quand vous faites cuire un œuf pendant 10 minutes, que se passe t-il? La qualité des protéines change. La structure devient tel que le corps est incapable de digérer cette protéine. Pourquoi? Parce que la température détruit la structure des protéines d'origine. Alors c'est vraiment inutile dans défendre les bénéfices des protéines dans les viandes, les œufs et les autres produits laitiers si l'on ne les mange pas cru. Aussi en cuisant, tous les autres nutriments dans l'aliment sont détruit. Cela rend votre nourriture: DEFICIENTE EN ACIDES AMINÉS ET AUTRES NUTRIMENTS.

 

-En mangeant des fruits crus, vous n'aurez jamais ce problème de déficience, que les industries bovines aimeraient vous faire croire.

 

- Le sucre est connu pour être néfaste pourtant? est ce que les fruits contiennent trop de sucre?

Le corps a besoin du sucre naturel en tant que source d’énergie. Lorsque les féculents sont mangés, tels que les patates et le pain, les enzymes digestifs réduisent les sucres complexes (amidon) en sucres simples. Lorsque les fruits sont mangés, le corps utilise les sucres simples (fructose ou autres) directement, sans devoir les réduire davantage. Cependant, ceci n’est pas comme manger du sucre raffiné. Dans le cas du sucre raffiné, la nourriture est absente de nutriments et de fibres. Le sucre entre donc rapidement dans le corps et n’est pas ralenti par le processus de digestion des fibres. De plus, les calories trouvées dans le sucre sont “vides” car elles ne fournissent pas de vitamines ou de minéraux. De l’autre côté, les fruits sont remplis de nutriments. Ce qui veut dire que pour chaque calorie fournie, ils fournissent également plusieurs micro-nutriments – vitamines et minéraux.

Si vous éliminez la plupart des fruits sucrés (sucre) et la plupart ou tous les glucides complexes (amidon), vous devrez obtenir vos calories à partir d’autres sources – protéines ou gras. Il est difficile d’obtenir beaucoup de calories des protéines et les diètes à haute teneur en protéines sont reconnues pour être nuisibles pour la santé. Vous vous retrouverez inévitablement à consommer de grande quantité de gras. Les conséquences d’une diète à haute teneur en gras sont bien documentées. (Voir Klaper, McDougall, Fuhrman, Barnard, etc.)

La plupart des experts végétariens et végétaliens influents recommandent une diète dont 10-15% des calories proviennent du gras. Aucun expert de la santé crédible ne recommanderait une alimentation dont plus de 20-25 % des calories proviennent des gras.

Mais beaucoup de crudivores enthousiastes ne sont pas au courant de ceci. Ils vivent sur une diète à très haute teneur en gras. Ils mangent des beurres de noix, des pâtés de noix, des huiles raffinées, des craquelins de lin, etc. Ils prépareront une salade avec 2-3 avocats (quelques fois plus!) et le sac de noix de macadamia devient leur nourriture de réconfort. En moyenne, plus de 50% de leurs calories proviennent des gras, souvent jusqu’à 70%. Sans aucun doute, une telle quantité de gras dans une diète est extrêmement malsaine et c’est la raison principale pourquoi les gens échouent avec de tels régimes.

Un effet secondaire malheureux d’un tel régime malsain est qu’ils ne peuvent plus gérer les fruits sucrés. Il est prouvé que les diètes à haute teneur en gras diminue la sensibilité de l’insuline (l’efficacité de l’insuline dans le transport du sucre aux cellules) et augmente donc les niveaux de sucre dans le sang. 1 Ceux qui vivent sur ces régimes à haute teneur en gras, soit la plupart des crudivores, expérimenteront inévitablement des variations du sucre dans le sang lorsqu’ils mangeront des fruits. Le problème n’est donc pas le fruit en tant que tel, mais les grandes quantités de gras consommées. Une fois que vous avez réduit substantiellement la quantité de gras que vous consommez, en éliminant toutes les huiles et en réduisant la quantité d’avocats, de noix et des autres aliments gras, votre corps sera capable d’utiliser le sucre des fruits plus efficacement.

En sachant que la source primaire de combustible pour le corps humain est le sucre naturel, le concept des fruits ayant “trop de sucre” devient illogique. La seule façon de consommer trop de sucre sous la forme des fruits serait de trop en manger, ce qui est difficile lorsqu’on mange des fruits à haute teneur en eau.

 

- Est-ce que les fruits sont alcalinisants ou acidifiants?

Il est connu depuis longtemps que les fruits sont les aliments les plus alcalinisant. Même s’ils sont acides au goût, comme les oranges, à la suite de la digestion, les fruits sont alcalinisants.

Cependant, quelques auteurs ont récemment affirmé le contraire. Selon Dr Robert Young, auteur de « The pH Miracle », les fruits sont acidifiants à cause de la haute teneur en sucre. Il explique ensuite sa théorie sans fondement que le sucre fermente et produit de l’acidité dans le corps.

Dr Robert Young est complètement dans l’erreur sur ce point. Les fruits sont alcalinisants même s’ils contiennent du sucre. Le sucre naturel contenu dans les fruits est parfaitement utilisé par le corps et ne fermente pas nécessairement pour produire de l’acidité. Le fait est que les cures de fruits ont été utilisées pendant des centaines d’années pour combattre l’acidité. Les gens font des cures de raisins, oranges, etc. ce qui aide à éliminer l’excès d’acidité dans leur corps. Les naturopathes, hygiénistes et autres praticiens de la santé, traditionnels et alternatifs, connaissent depuis des siècles que les fruits sont alcalinisants - et ce fait n’est pas remis en question dans les théories absurdes du Dr Young sur les fruits acidifiants.

 

- Que mange un frugivore/fruitarien ?

Pour les frugivores, Le meilleur moyen de le savoir est d'observer nos cousins les plus proches de nous génétiquement; Les singes Bonobos. 

Que manges-t-ils?  Des fruits en abondances, quelques noix et verdures.

 

Un fruitarien quant a lui ne consommera que des fruits afin de préserver le potentiel de vie de chaque plante.

 

- Les fruits sont-ils nocifs pour les dents ?

Nos dents sont faites pour croquer les fruits, en aspirer le jus. C'est d'ailleur le meilleur aliment pour conserver des dents saines et blanches.

 

Ils demandent peu d'effort de mastication, nettoient les dents continuellement grâce à leurs jus, et rétablissent un PH alcalin dans la zone buccale qui est nécessaire à une dentition en parfaite santé. 

Le sucre des fruits ne s'attaque pas aux dents, comme les sucres raffinés, ils maintiennent justement les dents en excellente santé.

 

La véritable cause des problèmes dentaires provient :

-Des aliments raffinés (sucre blanc, farine blanche etc…)

-Des aliments qui collent aux dents, d'où les bactéries peuvent proliférer, 

-Des aliments déshydratés qui rongent littéralement l'émail dentaire, 

-Des aliments acides (produits animaux majoritairement et céréales)

-Des aliments riche en acide phytique (céréales, légumineuses, noix)

-Et d’une surconsommation de fruits acides en bouche et non murs.

 

Il est aussi important de consommer uniquement des fruits MURS, étant donné que les fruits non arrivés à maturation ont un surplus d'acide non bénéfique pour les dents.

 

Ne vous brossez pas les dents non plus immédiatement après avoir manger des fruits, attendez 1h30-2h avant de les brosser, pour éviter d'abimer l'émail des dents.

 

- Et les légumes alors?? pourquoi vous n'en parlez pas?

Les légumes sont des aliments extremement pauvre en énergie/calorie et il serait terriblement difficile d'avoir une alimentation basé principalement sur les légumes crus (à moins de se gaver de noix/graines). De manière réaliste, l'apport énergétique/calorique principal est apporté par les fruits puis complété si désiré par des légumes/verdures.

 

- Comment organiser ses repas? combien de fois par jours? en quelle quantité?

Le plus efficace pour éviter les mélanges dans l'intestin et maximiser une digestion facile et rapide est de pratiqué la mono-diète.

Concrètement cela signifie de ne manger qu'un type de fruit avec la quantité souhaité et de changer de fruits (si la faim s'en fait ressentir) 90 min à 120 min après avoir ingéré le fruit.

 

Manger moins de **10-15% de gras maximisera de manière drastique la santé en général, l'aspect physique, l'acuité mentale, la joie, ainsi que les performances sportive (**ceci n'est pas une regle, il faut expérimenter et voir ce qui marche le mieux pour soi)

 

Le meilleur moyen reste évidemment d'écouter les signaux de son corps pour savoir quand manger. 

Il est bon de prendre le temps de mâcher l'aliment et de s'arrêter de le manger dès que le goût commence à changer, c'est un signe que l'organisme en à eu suffisamment.

 

- Comment reconnaître l'instinct de l'addiction?

C'est très simple.

 

Si le corps est attiré par  de la nourriture :

-Cru, 
-Mono, 
-Sans préparation (pas de condiments, d'artifices, de sauce),  
-Facile et simple à manger instinctivement (sans besoin d'ustensiles) à cueillir.

On peut parier que c'est l'instinct qui parle.

 

En revanche si le corps réclame de la nourriture :

-Cuite
-Mélangé avec différents type d'aliments
-Préparé, (sauce, sel, sucre etc…)
-Ayant besoin de connaissances techniques pour les manger (fourchette, couteau requis)(Impossible à attraper dans la nature sans ustensile ou armes)
-Excès de gras

On peut parier aisément que c'est l'addiction qui parle.

 

- Je fais un yoyo alimentaire, c'est trop dur, je replonge sans arrêt dans mes addictions, je suis fatigué et irritable constamment, que faire? 

Personne n'a dit que cela serait facile mais possible avec de la ténacité et de la patience mais surtout une stratégie progressive.

A mon humble avis, je dirai que la "malbouffe est l'addiction la plus difficile à surmonter!


C'est très dur effectivement, on se sent rapidement plus proche de tout ceux qui essaient d'arrêter de fumer ou de boire. Les mêmes symptômes se déclarent les premiers temps : Grande nervosité/irritabilité et des fluctuations d'extrême forme et fatigue.

 

Ajoutons à cela l'obsession mentale des envies d'aliments trafiqués, le sentiment d'exclusion social et nous avons tous les ingrédients pour rendre la tâche loin d'être facile.
La patience est gage de succès dans ce processus d'apprentissage durant la détoxication pour ne plus retomber dans nos propres pièges mentales.

 

Il est important de manger à sa faim, car il est facile d'observer que le mental redevient clair et calme lorsque le corps à eu sa quantité suffisante de fruits. Ne pas en manger assez résultera d'un envie accrue de manger n'importe quoi (et généralement à ce moment là c'est l'envie des pires JUNK qui prime).

 

Cependant, souffrir n'est pas une nécessité et il est bon d'être doux avec son corps et plus particulierement si vous l'avez habitué à une large consommation de proteine et de gras, de produits toxiques. Dans ce cas, il sera préferable d'y aller plus progressivement en réhabituant son corps a tourner a son carburant premier : LES GLUCIDES.   c'est à dire de manger, fruit, legume et cereales (cru et cuit) en abondance, puis une fois bien habitué, supprimer les céréales, et graviter pendant un moment avec fruit et legume cru et cuit vapeur. jusqu'a ce que la transition se fasse naturellement.

 

LES DIFFICULTES :
La première difficulté à surpasser concerne l'addiction purement physique. en fait, le cerveau conservent en mémoire dans ses récepteurs, le goût de l'excitant consommé pendant un mois. Voila pourquoi le premier effort est le plus important, parce que chaque fois que nous succomberont, le cerveau gardera en mémoire le goût 1 mois de plus.

 

La seconde difficulté à surpasser est beaucoup plus longue, elle est mentale, une envie de revivre des mémoires heureuses du passé, un besoin de changement, des pressions sociales.


Oui la pression sociale, lorsque nous ne sommes pas encore mature dans le chemin est souvent celle qui nous fait retomber facilement, même si la santé est radieuse. 
ceci est souvent dû à :

 

-la culpabilité de refuser un repas, de décevoir quelqu'un.
-Le sentiment d'être juger,
-La peur d'affirmer au monde sa façon de vivre.
-Le manque d'imagination quand à avoir une vie sociale riche sans consommer les drogues alimentaires.
-association de FUN avec les aliments toxiques.

 

Effectivement lorsque nous prenons ce chemin, il ne faudra compter sur personne d'autre que soit. Le monde est encore lent à comprendre les effets pernicieux de la nourriture.

 

Il est facile de dire : "j'arrête de fumer" car le monde entier sait que le tabac est néfaste pour la santé. Le soutien sera présent. Par contre pour l'alimentation c'est radicalement différent, vu le peu d'information diffusé au monde sur le sujet, ainsi que les médias encourageant à consommer DE TOUT (même le pire?) pour "la santé" il faut s'attendre à ne pas être soutenu.

 

C'est à ce moment qu'il faut garder foi en soi et en ses choix.

La seule manière d'influencer positivement une personne sera en étant l'exemple vivant de la santé, de la joie. c'est de l'exemple que naissent les plus grandes convictions.


Il est futile d'avoir peur du changement car c'est inévitable et bénéfique. Ce qui ne change pas meurt. 

Peut-être des gens à la suite de ce changement s'éloigneront, d'autres se rapprocheront certainement, n'ayez crainte de cela, après tout, il s'agit de vous, et quand il s'agit de soi, Il n'y a aucune raison à continuer des habitudes malsaine, que cela soit pour faire plaisir, par tradition ou autres…

 

- Est-que une alimentation 100% fruits ou 100% crue une absolue nécessité?

Pas du tout! c'est à vrai dire un choix purement personnel. L'important c'est que ce vous faites résonne avec vous. l'idée étant d'avoir une alimentation basé en prédominance sur les fruits. Cependant, les personnes atteintes de certaines affections physiques particulière répondent généralement mieux au 100% cru.

 

- J'ai entendu dire qu'il ne fallait pas manger trop de fruits car  l'agriculture moderne de leur permet pas d'avoir suffisamment de minéraux, est-ce vrai?

Effectivement quelques auteurs recommandent maintenant de ne pas manger trop de fruits parce qu’ils ne contiennent pas suffisamment de minéraux. Selon eux, les fruits cultivés selon les méthodes modernes d’agriculture, même si elles sont biologiques, ne contiennent pas suffisamment de minéraux. Ils recommandent donc de manger plus de légumes.

 

Par contre, ces personnes ne réalisent-elles pas que si les fruits cultivés aujourd’hui contiennent moins de minéraux qu’avant, les légumes, qui sont cultivés sur le même sol, contiennent aussi moins de minéraux ? Suggèrent-elles que nous devrions également manger moins de légumes? Donc, nous ne devrions rien manger du tout ? 

 

Le bon sens nous met en garde contre ces conseils. 

 

Les fruits cultivés aujourd’hui contiennent toujours des minéraux et sont même remplis de minéraux. La solution n’est pas d’arrêter de manger des fruits mais bien de chercher les fruits de la meilleure qualité possible. Les fruits sont toujours essentiels dans l’alimentation puisqu’ils procurent des sucres naturels pour l’énergie et qu’ils sont la meilleure source de vitamines.

 

Il est cependant vrai qu'il est nécessaire de manger en quantité suffisante selon les besoins du moment.

 

- Est-ce important de favoriser les aliments biologiques?

L’agriculture biologique, en plus d’être respectueuse de l’environnement, de la vie des sols et des hommes, produit des aliments aux qualités nutritionnelles établies.

 

En plus de contenir logiquement moins de pesticides mais aussi moins de métaux lourds (-48%), les produits biologiques contiennent davantage de polyphénols (jusqu’à 60% de plus) et d’antioxydants que les produits conventionnels.

C’est ce que montre une équipe internationale d’experts, dirigée par l’université de Newcastle au Royaume-Uni, dans un état de l’art sur les avantages et/ou désavantages nutritionnels, des cultures ou aliments à base de plantes cultivées en agriculture biologique (AB), face à ceux issus de l’agriculture conventionnelle. L’équipe a ainsi analysé 343 études scientifiques les différences de composition entre les cultures biologiques et conventionnelles et publié ses résultats dans le British Journal of Nutrition de Juin 2014.

 

Les antioxydants présentent des avantages nutritionnels, réduisant le risque de maladies cardiovasculaire, neurodégénératives et certains cancers. Les polyphénols «  prennent une importance croissante, notamment grâce à leurs effets bénéfiques sur la santé1. En effet, leur rôle d’antioxydants naturels suscite de plus en plus d’intérêt pour la prévention et le traitement du cancer, des maladies inflammatoires3, cardiovasculaires et neurodégénératives. Ils sont également utilisés comme additifs pour l’industrie agroalimentaire, pharmaceutique et cosmétique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour résumer manger BIO:

- Préserve l'environnement

- Préserve les qualités nutritionnelles et gustatives des aliments

- Participe aux facteurs de santé

- Réduit les risques sanitaires liés aux pesticides

- Garanti de ne pas consommer d'aliments "frankenstein" que sont les OGMs

- Favorise l'emploi et le developpement durable ( l'agriculture biologique génere environ 30% d'emplois en plus (Rapport FNAB DATAR VEROT 1998)

 

- Je ressemble à un fil de fer depuis que je mange ainsi et suis sans énergie, dois-je me goinfrer?

Plusieurs causes sont possible.

 

la première cause possible est :

La détoxication, processus se débarrassant de toutes les anciennes toxines et de l'accumulation d'eau, de graisse et de cellules malsaines; 

 

Cette période fatiguante varie d'une personne à une autre selon le degré d'intoxication général du corps.

Cela demande beaucoup d'énergie au corps et il ne faut espérer durant cette période prendre du poids.

Durant cette période le corps n'a que faire d'accroître la masse musculaire et le poids du corps, sa priorité : DÉPOLLUER, NETTOYER, RAJEUNIR.

Se goinfrer ne fera que ralentir le processus de détoxication initiale.

Pour accélérer la "detox" et libérer donc au corps de l'énergie, il est recommandé d'avoir un apport plus abondant de liquides (eau, jus de fruits) ainsi que des lavements intestinaux; l'idée étant de favoriser l'élimination.

Après que la détoxication initiale se face plus discrète, le corps reprendra des formes harmonieuse et belle en relation avec le programme génétique de chacun.

 

Deuxième cause possible :

Un apport nutritionnel insuffisant. Il est important de ne pas s'occuper du nombre calories ingérées, ni de les restreindre ou de se gaver  mais il est important d'écouter son instinct et de manger à sa faim.

 

Troisième cause possible:

Le manque d'activité physique. En effet, lorsque le corps se debarasse des rétentions d'eau et du gras, beaucoup sont ceux qui se retrouve très maigre pensant avoir perdu beaucoup de masse musculaire alors qu'en fait il n'en est rien. ils ont juste perdu l'illusion de leur masse en perdant le gras et s'apperçoivent réeellement de leur developpement musculaire. SOLUTION : l'activité physique!

Un bon nombre de personnes mettent l'accent sur l'alimentation et si peu sur l'activité physique, qui devrai selon moi être au premier plan. Le corps à besoin de mouvement, il vit dans le mouvement. Un corps qui devient inerte, est un corps qui meure. Dans les bases de la santé, l’activité physique en est le roi et l’alimentation la reine.

 

Un bon point c'est que l'exercice physique affûte notre sensibilité a ressentir nos vrais besoins. s'exercer nous détourne des luttes mentales et des envies de consommer des cochonneries et nous recentre vers le besoin de fruits SUCRÉS et JUTEUX.

 

- Où trouverai-je la vitamine b12 qui se trouve uniquement dans les produits animaux?

Pensez vous que les animaux sauvage compte le nombre de calories qu'ils consomment chaque jour? le nombre de protéines, de vitamines requises?

 

Evidemment non, ils n'en n'ont même pas conscience et pourtant ils sont en santé parfaite. le simple fait de suivre leur instinct est suffisant.

 

Néanmoins, cette question est très intéressante et mérite une réponse, Saviez vous que même les grands consommateurs de viandes et les grands sportifs de hauts niveaux sont eux aussi bien souvent déficient en B12 et doivent s'injecter des doses de vitamines b12? Tout simplement car une flore intestinale ayant perdu sa sensibilité d'origine, ne métabolise plus la B12 correctement qui est d’origine bactérienne.

 

En réalité, la vitamine b12 est présente aussi bien dans les fruits et dans les plantes sauvages, mais les traitements chimiques, les rincages excessif les font disparaitre.  SOLUTION = FRUIT BIOLOGIQUE

 

Une flore intestinale réequilibrée par une alimentation pauvre en mucus/toxines permet de pallier ce problème sur le long terme.

 

Si cela s'avérait problématique, vous pouvez toujours faire le choix personnel de vous supplémenter en b12.

 

- Je fais du sport à un haut niveau est j'ai besoin de consommer suffisamment d'aliments pour pouvoir avoir les meilleurs performances;  Est-ce que les fruits me suffiront ?

Les fruits sont les aliments idéaux pour l’exercice physique. Les meilleurs aliments après une séance d’entraînement ne sont pas les muffins, le yogourt ou les concentrés de protéines, mais les fruits frais. Les coureurs et les autres athlètes savent depuis longtemps qu’il n’y a rien de mieux après une séance d’entraînement que les fruits sucrés contenants beaucoup d’eau, tels que les oranges ou les melons. Ils contiennent suffisamment d’eau pour hydrater le corps et leurs sucres naturels sont utilisés rapidement pour produire de l’énergie.

L’activité physique régulière améliore la sensibilité à l’insuline, qui est l’efficacité de l’insuline à transporter le sucre à vos cellules. En d’autres mots, si vous faites de l’exercice, vous serez capable de mieux utiliser le sucre des fruits et serez moins sujet à expérimenter fluctuations du taux de sucre sanguin.

 

Sachant que tous les aliments absorbés passent par une processus plus ou moins long de transformation en sucre rapide pour être utiliser par le corps. Avec les fruits ils sont immédiatement utilisé sans avoir besoin de ce processus.

 

- Dois-je m’exercer durant la détoxication initiale ?

Il est conseillé de s'exercer, de prendre l'air pour accélérer la détoxication initiale.

 

Je trouve personnellement que la détoxication initiale est beaucoup moins pénible avec de l'activité physique, un apport plus abondant de liquides (eau, jus de fruits) ainsi que des lavements intestinaux; l'idée étant de favoriser l'élimination.

 

Gardons à l'esprit néanmoins, de toujours être attentif aux besoins du corps, d'être doux avec lui, et de ralentir ou se reposer lorsque le besoin s'en fait sentir.

 

- Je n'ai plus soif depuis que je me nourri exclusivement de fruits, dois-je boire de l'eau minérale tout de même ?

 

Si vous sentez que vous n'avez pas soif, pourquoi se forcer à boire?

 

Iriez-vous au toilette parce que vous êtes supposé y aller à cette heure ci, même si vous n'en aviez pas le besoin?

 

Il est en fait très facile de comprendre pourquoi la soif disparaît petit a petit lors d'une alimentation fruitarienne.

 

Les fruits sont gorgés d'eau d'une qualité exceptionnelle, remplis de vitamines de minéraux que le corps assimile à la perfection.

De plus, une alimentation qui favorise une digestion rapide et vide de mucus, demande extrêmement moins d'eau au corps pour fonctionner et digérer.

 

- Manger des fruits revient cher !

De manière isolée, effectivement cela peut paraitre excessivement cher (1kg de pâtes 60c / 1 ananas 2€).
Mais si l'on calcule les dépenses sur le mode de vie de manière globale, alors les fruits sont bien plus économique.

 

Economie en frais :

 

-Médicaux (pharmaceutique, hospitalier, Docteur, Dentiste, Acupuncture, Ostéopathie, Dermatologie, Ophtalmologie, Chirurgie esthétique, masseur etc…) :

Absence de problème de santé, de l'affection la plus bénigne à la maladie la plus grave. 

Problèmes dentaires rendu inexistants. 

Le corps est relâché naturellement. Le dos et toute la structure osseuse est maintenue dans son alignement postural naturel grâce à une musculature active, souple et harmonieuse. 

La vision s'améliore dramatiquement, et l'aspect physique retrouve sa beauté harmonieuse et sa radiance naturelle. 

Les allergies appartiennent au passé, et le corps recouvre merveilleusement vite après les efforts physiques.

 

-D'électricité/gaz :
Effectivement plus besoin de cuire ses aliments, de les chauffer,de les réfrigérer.

 

-D'eau :
les douches sont beaucoup plus rapides, car le corps est intérieurement plus propre, moins (voir pas) de transpiration, toxines, bonne odeur générale, les cheveux sont beau naturellement.
Enormément moins de dépenses en eau pour les vaisselles, car les fruits collent peu à l'assiette, et l'assiette en elle même n'est pas indispensable pour manger le fruit.
Consommation d'eau potable rendu très faible voir inexistante. les fruits contiennent 85% d'eau plus potable et profitable que n'importe quelle source d'eau.

 

-En ustensiles/appareil ménager :
Réduction du nombre d'assiette nécessaires, couteau-fourchette… -inutilité de poëles, congélateur, casseroles, cocotte minute, four, micro-onde, grill, récipient, filtre à eau, déshydrateur, lave vaisselle, cuisinière, Frigo utile mais pas indispensable. 
Grosso modo, un fruit se mange sans aucun besoin d'ustensiles/appareil ménagers ou bien en quantité ridiculement infime.

 

-En condiments :
Plus aucune dépense d'Huile, vinaigre, sauce, sel, poivre, herbes, beurre, sucre, moutarde, mayonnaise, ketchup, farine etc…

 

-En cosmétique :
Réduction en nécessité de shampoing, savon, dentifrice, inutilité des crèmes hydratante/gommante, anti-ride, anti-acnée, huiles pour la peau, lotion solaire, parfum, déodorant, produit pour la santé des ongles.

 

-D'aliments cuits et de junk food :
Plus aucune Céréale, produits laitiers, viandes, poissons, oeufs, biscuits, alcool, café, thé, pâtisserie, confiseries, yahourt, majeur partie des légumes, produits raffinés Végétarien et Végétaliens, produits labélisés "CRU" (gâteau cru, cracker, noix), restaurants etc…

 

Et non négligeable, économie générale de temps, pour se consacrer à autre chose que son corps, sa nourriture, et ses problèmes de santé.

 

- En quoi un mode de vie fruitarien est éthiquement supérieur qu’un mode de vie omnivore, végétarien/talien?

Être fruitarien, c'est automatiquement la plus grande forme de respect pour nous-même et pour l'écologie. 

 

Il n'y a aucun besoin pour subsister et préparer ses aliments : d'électricité, de gaz, d'ustensiles, d'aliment hautement raffinée (huiles, céréales, viandes,sucres…), ce qui signifie :

 

-Libération de la tâche physique exténuante à produire de la nourriture,

-Libération énergétique et économique à produire de la nourriture,

-Extinction de la majeure partie des entreprises agro-alimentaire les plus polluantes et désastreuse pour l'écologie mondiale qui n'auront plus de raison d'exercer PLUS BESOIN!

-Plus besoin de "packaging", de plastiques.

-Réduction de la consommation d'eau sous la douche et des besoins cosmétiques : shampoing, savon (fini les mauvaise odeurs, boutons, rides)etc.

-Plus besoin de stocker les déchets, de les trier, de les transformer.

-Enorme impact économique sur le système de santé.


Être fruitarien c'est aussi respecter toutes vie, animale et végétale. L'avantage majeur est qu'il n'est plus besoin de détruire une vie animale, un véritable génocide responsable grandement de l'extinction des espèces et carnage écologique (nourrir le bétail etc…).

 

Plus besoin même de détruire une plante pour se nourrir. Nous nous nourrissons seulement du résultat de l'arbre sans voler une vie, permettant ainsi, de replanter les graines de futurs arbres fruitiers à l'infini sans détruire une plante. les graines tel que celles se trouvant dans les fraises, sont préparées et rendues actives dans le corps, lors de la digestion. Ainsi faire ses besoin dans la nature devient profitable!


Etre fruitarien, c'est aider la planète à se développer harmonieusement, à contribuer au repeuplement des arbres, au maintien ainsi d'un oxygène terrestre optimal, de vivre littéralement dans le "jardin d'Eden".

 

Plus nous consommerons de fruits et plus les fruits seront en abondance autour de nous. Ce qui signifie :

 

-Disparition de la faim dans le monde,

-Disparition de la soif dans le monde, puisque tous les fruits sont gorgés d'une eau la plus pure qui puisse exister.

-Eradication de toutes les maladies dégénératives humaines.

-Maintien et amélioration progressive de l'éco-système.

 

La futur de l'humanité est radieux : les taches du travail humain, ne serviront plus à SURVIVRE (puisque la nourriture est gratuite, car partout) mais servira à des tâches ennoblissantes, de l'intérêt commun, de progrès technologique, scientifique, philosophique, spirituelle. De vivre l'unité la plus parfaite avec la nature et les êtres humains.

 

- A quoi dois-je m'attendre une fois que la détoxication initiale sera terminée, Quels seront les bénéfices?

Voici les Bénéfices d’une alimentation fruitarienne :

 

-Plus de force mentale, plus de clarté mentale avec de nouvelles idée totalement différentes, plus de créativité et de joie, plus d’énergie, rajeunissement, amélioration de la confiance, de l’estime de soi, et libéré des dépendances affectives de toute sortes ! totale détoxication et purification du corps : du cerveau, du système cardio-vasculaire, du système respiratoire, du système nerveux, du système endocrinien, du système digestif ; équilibre et harmonise toutes les parties du corps. Sentiment de pleine santé en globalité comme une seule entité et non plus divisé avec des organes mieux que d’autres…

 

-Impression de guérir de toutes les maux, même les plus enfouis dont l’on n’avait pas conscience. Guérison de toutes les maladies que l’on peut sentir, ainsi que les tumeurs et les cellules cancéreuses.

 

-Guérit et améliore les problèmes de santé tel que : constipation, insomnie, dépression cyclique, stress, de la  faim…avec les organes digestifs beaucoup plus relaxés.

 

-Enorme Amélioration du système immunitaire pour résister a n’importe quel type d’allergies, de virus, bactérie, etc…

 

-Elimination du flux menstruel ou réduction significative chez la femme (peut-être deux fois par an seulement, ou même rien du tout…) !

 

-Revitalisation des organes sexuels, amélioration du sentiment de sensualité et de fertilité. Peau clair et propre, yeux brillants, ongles plus beau et solides, meilleur odeur corporelle, améliore les sens et les sensations générales de bien être avec pour conséquent la récupération de l’éclat et de la beauté naturelle typique des jeunes.

 

-Pousse de nouveaux cheveux.

 

-Perte de poids, de gras, de cellulite et remodelage de tous les tissus en fonction du programme génétique de chacun.

 

-Self contrôle, sur de nombreuses dépendances émotionnelles comme : le tabac, le café, l’alcool, les bonbons et les mauvaises habitudes de vie.

 

-Amélioration de la coordination musculaire et l’équilibre

 

-Amélioration de la capacité de travailler et développe les compétences professionnelles.

 

-Amélioration de la relation avec la nature,  les animaux, les plantes et les arbres, l’eau, l’air, le soleil.

 

-Amélioration de la capacité à faire face à la souffrance avec moins de sensation de douleur ou d’inconfort après l’effort physique, d’accidents ou des désagréments de la vie.

 

-Sensation intérieur de liberté…

 

-Sensation intérieur de joie et de paix.

 

-Sensation intérieur d’intégration avec le monde en général et avec tous les êtres humains en particulier.

 

-Augmentation de la volonté de vivre !

 

-Amélioration de la capacité à faire face a tout types de problèmes et améliore la capacité de décision.

 

-Augmentation du temps libre…

 

-Amélioration de la mémoire et de la capacité de concentration.

 

-Amélioration de la capacité de comprendre ce qui est bon pour l’être humain (sagesse intérieur) avec la force et le courage de choisir.

 

-Libéré des sentiments qui sont la cause profonde de la souffrance : la jalousie, la lâcheté, la timidité, la solitude, la violence, etc.…

 

-Libéré des peurs, de la nature, des animaux inoffensifs, de l’obscurité, de l’avenir, des accidents, des incertitudes, avec l’amélioration de la confiance et de la bonne humeur.

 

-Développement d’une nouvelle forme de conscience totale et d’attitude envers la vie.

 

-Elimination totale de tous les symptômes de vieillesse ainsi que de toutes les conditions dégénératives typique de l’adulte d’aujourd’hui, avec la conquête d’une totale nouvelle santé et vitalité pour plus de 100 ans….

 

-Beaucoup plus de conscience spirituelle et d’un sage usage de la volonté.

 

.............

 

Cela vous semble t-il trop beau pour être vrai ? Est-ce seulement des promesses ou des revendications idéalistes ? Est-ce que cela ressemble à une religion ? Et bien, à vous de voir personnellement.

 

Il ne vous est pas demander de croire… il ne vous est pas demander de l’argent, ni de glorifier quiconque, ni d'adhérer à une quelconque communauté, c'est un concept adaptable dans n'importe quel milieu de vie, passé, croyance etc.

 

L'on peut connaître beaucoup de choses de manière théorique… mais cela est bien futile sans l’expérimentation qui la valide ou l'invalide.

 

Connaître la santé et la vivre est quelque chose de très différent.

La meilleur chose que l'on puisse faire pour s'assurer de la véracité d'une théorie, c’est de l’expérimenter individuellement.

Cela ne vous coûtera pas un seul euro et vous ferez beaucoup d’économie sur votre santé et le coût de votre alimentation.

Et peut-être l’alimentation sera pour vous le debut d'une conscience grandissante vers des plus grands mystères de l’univers et de la vie…

 

 

Mark L.

Sources identifiées :

www.fruitarian.com

http://membres.lycos.fr/jbarriere/dossiers/lelaitde.htm

http://www.onnouscachetout.com/themes/alimentation/micro-ondes-eau-et-plantes.php

http://livingonfruit.blogspot.com/2010/01/where-do-fruitarians-get-their-proteins.html

http://www.fredericpatenaude.com/francais/fruits.html

http://grandesmala.spaces.live.com/

http://www.saveursvertes.com/Gastronomie-Alternative.aspx

http://www.curetoothdecay.com/Tooth_Decay/whole_grains_cause_tooth_decay.htm

http://paleodiet.com/phytic.txt

http://www.opaba.org/bioenalsace/consommer-bio/pourquoi-manger-bio

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